Crédit Photo @Ufo Youn
Jusqu’au 11 avril 2025, l’Institut Français de Cote d’Ivoire présente l’exposition THE ABIDJANER portée de mains de maître Corotoum Symakan, jeune artiste polyvalente.
Avec THE ABIDJANER, elle et plusieurs artistes présentent depuis 2022, l’Abidjan de toutes les authenticités, de toutes les ambiances. De couvertures en couvertures, le projet s’est exprimé sur les réseaux sociaux, avant de sortir de l’écran. Du graphisme, des couleurs, des visages, des lieux, des scènes, emplissent les cadres, et concentrent l’essence d’une métropole, centre d’attention du monde.
Avec THE ABIDJANER, Corotoum Symakan, en directrice artistique, propose des perceptions de la ville, et offre une vitrine aux artistes qui dynamiseront les industries créatives de demain, si ce n’est déjà le cas…

- Pourquoi the Abidjaner ?
La question à poser c’est plutôt : Pourquoi pas The Abidjaner ? (rires)
The Abidjaner car le point de convergence de tous les artistes sur ce projet est la ville d’Abidjan, capitale de la Côte d’Ivoire.
Ce nom est aussi inspiré de The New Yorker, magazine qui a entre autres inspiré le projet
- Y a t-il une DA spécifique pour toutes les couvertures ? Laquelle ?
La direction artistique ? Des illustrations de qualité qui représente l’essence d’Abidjan et de la Côte d’Ivoire. Toutefois en tant que directrice artistique/ curatrice, mes goûts influent inévitablement sur le choix des oeuvres
- Dessin, peinture, photographie, Graphic Design, tu touches à tout, mais que préfères tu ? Et pourquoi ?
Je dirai que je préfère la peinture. C’est la technique qui me permet de représenter le mieux tout ce que j’imagine, tout ce qui se passe dans ma tête. Entre la matière, la couleur et les différentes propriétés de la peinture (acrylique notamment) je me sens libre de créer et les possibilités sont infinies.
- Tu portes un projet qui font se rencontrer différents talents, mais individuellement, quel carriere artistique espères-tu ?
J’aimerais à long terme pouvoir vivre de la peinture mais j’avoue que parfois ça me fait aussi peur de faire de ma passion mon métier à temps plein…
- Quels sont les perspectives avec The Abidjaner ?
Pour l’heure, nous avons lancé la commercialisation de nos illustrations et espérons pouvoir financer la suite du projet avec ces ventes.